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Le malade et la belle infirmière (pv)

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MessageSujet: Le malade et la belle infirmière (pv) Le malade et la belle infirmière (pv) EmptyMer 20 Juin - 14:19


Dylan et Primrose

Le malade et la belle infirmière (pv) Tumblr_lza6x2qcwr1r6iczvo1_500



J'avais offert à Primrose de passer la journée avec moi, il y a de cela quelques jours, mais ce matin alors que je m'étais réveillé je me sentis tout bizarre et comme je ne me sentais pas très bien j'entrepris de l'appeler afin de lui dire, à contre coeur, que notre petite journée à faire les boutiques était fichue...je dois avouer que j'étais brulant de fièvre et que je ne me voyais pas sortir à l'extérieur...bien sur je ne voulais pas l'alarmer alors je n'entrai pas dans les détails mais Primrose est une jeune femme intelligente et je suis persuadée qu'elle se doute parfaitement que je ne suis pas à mon mieux...après tout elle est mon parfait complément et me connaît par coeur.

J'avais fini par trouver la force de me tirer de mon lit et je m'étais fait couler un bain chaud et je m'y relaxai pendant un bon moment avant d'en sortir afin de me sécher et d'enfiler un pyjama, bien évidement il n'était pas dans mes habitude d'être en pyjama à cet heure de la journée mais néanmoins je me dirigeai vers le salon afin de prendre place sur le sofa et c'est armée de la télécommande que je commençai à passer d'une chaîne à une autre, à la recherche de contenu intéressant mais en vain.

Je regardais une émission qui ne m'intéressait que très peu et puis mes pensées se dirigèrent vers Primrose, je ne pouvais m'empêcher de me demander ce qu'elle faisait...je dois avouer que le regard à la fois charmeur et envoûtant de la belle blonde me manquait tout comme la divine douceur de ses caresses et la sensualité de ses baisers me faisaient rêver...ce que j'aimerais qu'elle soit avec moi afin de la serrer contre moi, lui caressant lui cheveux tout en noyant mon regard dans le sien...sans elle tout me semblait si différent.


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MessageSujet: Re: Le malade et la belle infirmière (pv) Le malade et la belle infirmière (pv) EmptyMer 20 Juin - 16:14

DYLAN & PRIMROSE


    Comment réagir quand on s'aperçoit que l'une des personnes qui vous ai le plus cher dans ce vaste monde, annule la journée qu'il vous a gentiment proposer ? En temps normal, n'importe quelle jeune femme de mon âge aurait était sans nul doute énervée ou déçue par ce revirement de situation. N'importe quelle fille aurait lancer un juron en se disant que l'homme en question s'est dégonflé pour on ne sait quelle raison... La plupart des hommes aurait certainement sorti « Non, je me sens pas d'humeur, laisse-moi respirer un peu ! » ou quelque chose de ce genre là, mais je n'étais pas n'importe quelle demoiselle. Et surtout, je savais parfaitement que, quand mon cher Dylan décommander quelque chose, - ce qui est vraiment rare - c'est que quelque chose n'allait pas forcément... Et si il y avait bien une chose que je ne pouvais tolérer, c'est de le voir aussi mal en point ou de le voir tracasser par quelque chose ou quelqu'un. A dire vrai, la relation que j'entrenais avec le beau brun était quelque peu unique et fusionnelle. Je ressentais ce besoin d'être toujours à ses côtés, de me blottir dans ses bras. Sentir son doux parfum qui m'ennivrais et dont je ne pouvais me passer. J'ai ce besoin vital de sceller mes lèvres contre les siennes, comme si ma vie en dépendait. De pouvoir le regarder avec tendresse, durant des heures. De pouvoir le caresser. Ne faire plus qu'un... Je voudrais le rendre heureux. Etre là pour lui, et uniquement pour lui. Je veux tout simplement faire son bonheur, quelqu'en soit les circonstances. C'est une évidence. Il me rendait totalement folle. Oui, je suis folle amoureuse de lui. Pourtant, je savais que ça allait contre nos principes. Dylan méritait largement de se trouver une belle petite femme aimante et douce, de sa catégorie, qui saurait le combler, l'aimait comme jamais. Je voulais qu'il trouve sa perle rare, et pourtant... Sans que je ne contrôle quoi que se soit, j'étais tomber sous son charme... Faut dire, comment résister ? Avec son sourire enjôleur, qui vous fait fondre sur place. Son rire argentin que vous avez envie d'écouter indéfiniment. Avec sa bonne humeur constante qui illumine vos journées et vous fait voir la vie en rose. Son côté romantique et gentleman qui vous fait machinalement craquer. Son timbre dont vous buvez inconsidérablement. Ses yeux émeraude dans lesquelles vous vous noyez automatiquement, dès que vous osez poser votre regard. Il est la personne qui fait battre mon coeur. La personne la plus chère à mes yeux et dans mon âme. Alors, si je constate que le bel apollon ne se sent pas au meilleur de sa forme, cela m'angoisse plus que tout. Si il n'est pas heureux, je ne peux l'être non plus... Il est mon tout, ma moitié, l'élu de mon coeur. L'amour, l'homme de ma vie, et tant qu'il voudra toujours de moi, je serais toujours là, quoi qu'il arrive. Quoi qu'il se passe. Ma vie est liée à la sienne.

    Cela faisait une bonne heure que j'étais plongé dans un livre. Après tout, il me restais encore un peu de temps, avant de rejoindre mon amant et de profiter de cette belle après-midi qui s'offrait à nous. Bien sur, j'avais envie de sauter les dernières heures qui rester, aussi pénible soit-il, afin de pouvoir enfin le revoir. Je n'attendais même que ça, mais... Histoire de faire passer le temps, j'avais décidais de continuer le roman de l'histoire qui me passioner réellement. Après tout, ne dit-on pas que lire, ça passe vite ? Puis, tout à coup, je sentis mon portable vibrer, m'indiquant ainsi, que j'avais reçu un message. Je déposais alors mon marque page, reposer le bouquin soigneusement sur mon lit, pris mon cellulaire, et me mis à fouiller dans mes sms, à la recherche de cette nouvelle réponse. Il me fallut quelques longs instants avant même de tomber dessus, et d'en lire ainsi le contenu. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris que mon bel apollon ne se sentait pas très bien, et que par conséquent, on devait annuler notre rendez-vous. Je laissais échapper un soupir, puis me mis à stresser, comme chaque fois que le beau brun m'annonçait une mauvaise nouvelle. L'après-midi shopping ? Qu'importe, on pouvait toujours se ratrapper. Et puis, je préférais plutôt m'occuper de la santé de mon bien aimé, plutôt que d'aller faire du lèche vitrine et claquer tout notre argent, non mais ! Je lui répondit alors, rapidement, avant de me levais d'un coup. Je me doutais bel et bien que le beau brun ne voulait en aucunement m'inquiêtais, mais... Je ne pouvais me résoudre à le laisser seul. Surtout dans une telle situation ! J'enfilais alors ma veste en jean, pris mon sac qui était soigneusement posé sur la chaise de mon bureau, descendit les marches en quatrième vitesse, et mis mes petites ballerines noirs. Puis, je fermais la porte d'entrée à double tour et me mis en route. E direction de l'appartement de mon petit Dylan. Fort heureusement, nos petits chez nous respectifs n'était qu'à deux trois patés de maisons...

    C'est après une bonne dizaines de minutes que j'arrivais enfin à bon port... Je frappais avec délicatesse, contre la porte, espérant ne pas déranger celui qui faisait battre mon coeur. Ou dans tout les cas, je savais au moins, que, si ce dernier ne venait guerre m'ouvrir, je pouvais toujours utiliser la clef de secours qu'il mettait sous le paillasson. Néamoins, je ne pouvais me permettre de me montrer impolie et débarquer comme ça, sans au moins toquer... !
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MessageSujet: Re: Le malade et la belle infirmière (pv) Le malade et la belle infirmière (pv) EmptyVen 22 Juin - 20:53

    J'avais donc fini par trouver la force et le courage me permettant de me tirer de mon lit et je me dirigeai directement vers la salle de bain et ce n'est qu'après avoir retiré mon pyjama que je me glissai dans ce bain chaud que je venais de me faire couler. Je m'y étais laissé calé et je fermai les yeux profitant de cette apaisante chaleur et ce n'est qu'après environ trente minutes que je finis par en sortir afin de m'assécher complétement pour ensuite retourner dans ma chambre enfiler un autre pyjama pour ensuite me rendre au salon.

    Arrivé au salon je m'installai sur le sofa et c'est armé de ma télécommande que je me mis à voguer d'une chaîne télé à une autre, à la recherche d'une émission digne d'intérêt, et je finis par m'endormir sur le sofa. Bien sur ce moment d'accalmie ne fut que de courte durée puisque j'entendis sonner à ma porte.

    Ce n'est que difficilement que je fini par me lever du sofa et j'avançai à pas lents en direction afin de l'ouvrir, mon regard se posa alors sur Primrose...je la détaillai du regard tout en lui souriant...j'étais si heureux de la revoir, je la fis donc entrer avant de refermer derrière nous et puis alors que je la serrai contre moi je fini par venir déposer mes lèvres contre les siennes, afin de l'embrasser tendrement, tout en lui caressant le bas du dos pour ensuite l'entraîner avec moi sur le sofa.

    Ce que tu m'as manqué mon ange...c'est dingue.


    Lui dis-je tout en lui caressant la joue et noyant mon regard dans le sien, bien que vitreux mon regard ne pouvait qu'être le parfait témoin de tout le désir que j'éprouvais pour elle.
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MessageSujet: Re: Le malade et la belle infirmière (pv) Le malade et la belle infirmière (pv) EmptyDim 24 Juin - 15:52

DYLAN & PRIMROSE



    En recevant ainsi la réponse, je ne pu m'empêcher de m'inquiêter pour le beau jeune homme. Après tout, ce n'était pas son genre d'annuler une sortie ! Et puis, dans ce genre de circonstances, cela ne pouvait que m'angoisser. Après tout, il pouvait se passer tout et n'importe quoi, entre-temps... C'est pourquoi, je me décidais à venir rendre une petite visite à mon cher Dylan. J'avais alors sauter hors de mon lit, enfiler ma veste. Je pris le reste de mes afaires et descendait les marches aussi vite que l'éclair, tout en faisant attention de ne pas trébucher. Puis, je passais mes petites ballerines à mes pieds, sortais enfin de chez moi, refermer soigneusement à clef, et partis rapidement en direction de l'appartement du bel apollon.

    Une dizaines de minutes s'écoulèrent aussi vite que du sable, avant même que je n'arrive enfin devant la porte de mon bien aimé. Je soufflais un bon coup, et frapper délicatement contre celle-ci, en espérant que je ne dérangerais pas le beau brun. Je patientais encore quelques longs instants, puis, j'entendis le verrou s'actionner. La porte s'ouvrit enfin, et je découvrit le garçon. Mon coeur s'accélera, tout à coup, alors que je le toisais avec un petit sourire, tendre, bien qu'inquiète. En effet, il avait une petite mine. Je devais l'avouer, il y avait de quoi avoir peur, car... Je ne l'avais jamais vu aussi livide... Néamoins, ce dernier me fit entrer, referma derrière nous, avant même m'attirai jusqu'à lui. Je me resserais alors, un peu plus, profitant de ce moment, et prolonger son baiser avec passion, tout en posant ma main sur sa joue. Puis, je me mis à frissonner, quand je sentis que le bel apollon me caressais doucement le bas du dos. Je me mordis la lèvre inférieure, et glissais mes mains délicatement jusqu'à son torse. C'est après quelques instants, que le beau brun m'entraina jusqu'au canapé, où on s'installèrent tranquillement. « Ce que tu m'as manqué mon ange... C'est dingue. » M'avoua-t'il, d'un air suave, en me caressant la joue, tout en me sondant. J'affichais un sourire, pour le moins radieux et éclatant. Trouvant cela tout à fait mignon. Puis, lui pris délicatement la main, qui était sur ma joue, que je me mis à caresser avec douceur. Je le toisais avec amour et tendresse, bien que j'étais tout de même inquiète de le voir aussi mal au point... « Oh, toi aussi mon coeur, tu m'as trop manqué. Même plus que tu ne l'imagine. » Lui répondis-je, d'un air affectueux, en lui caressant le visage avec délicatesse. Puis, je passais ma main sur son front encore chaud bouillant. « Mon pauvre chou, t'es vraiment chaud. Crois-moi, je vais pas te laisser tout seul comme ça. » M'inquiêtais-je, en le regardant d'un petit air triste, cette fois, avant de continuer à lui caresser la joue.
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MessageSujet: Re: Le malade et la belle infirmière (pv) Le malade et la belle infirmière (pv) EmptyMer 27 Juin - 13:20

    Je ne me sentais pas bien mais allez savoir pourquoi le simple fait de me retrouver avec elle faisait en sorte que soudainement je me sente beaucoup mieux, je la regardai tout en lui souriant alors que je lui caressai la joue et que j'embrassai sur la front tout en lui disant combien elle m'avait manqué. Mon regard se noyait dans le sien et je sentis sa main venir se glisser contre la mienne alors que je lui caressais la joue et c'est alors qu'elle me répondit que je lui avais manqué, plus que je ne pouvais l'imaginer...j'adorais lorsqu'elle me parlait ainsi.

    J'étais si bien avec elle que je ne désirais tout simplement que profiter du moment présent en sa compagnie, je la regardai alors qu'elle me toucha le front tout en me disant que j'étais brûlant et qu'elle ne comptait pas me laisser seul dans un tel moment.

    T'en fais pas c'est presque rien et puis c'est toi qui fait monter la température lorsque tu t'approches aussi dangereusement de moi.
    Même malade je ne parvenais pas à m'empêcher de la taquiner. Je t'aime tellement ma princesse et puis je n'ai pas envie que tu me laisses...je suis trop bien en ta compagnie.

    Je la regardais tendrement tout en savourant l'exquise douceur de ses caresses qu'elle me faisait alors que ses doigts glissaient délicatement contre ma joue et lentement je lui pris la main afin de l'emmener avec moi sur le sofa alors que je venais d'y prendre place...je la regardais dans les yeux elle était si belle, si douce, si attentionnée à mon endroit que je ne pouvais que souhaiter me retrouver près d'elle.
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MessageSujet: Re: Le malade et la belle infirmière (pv) Le malade et la belle infirmière (pv) EmptyMer 27 Juin - 23:14

DYLAN & PRIMROSE


    A qui ça n'est jamais arriver d'être aussi mal... Brulant de fièvre, fatigué. De transpirer, d'avoir un coup chaud, un coup froid. D'avoir soudainement des frissons ou des courbatures un peu partout sur votre corp. Ou encore d'avoir mal au ventre ou à la gorge ? Oui, on est tous au moins passé par là, tôt ou tard. Et dans ce cas là, on se demande pourquoi cela nous arrive-t'il toujours au moment où il ne le faut pas ? On a d'autres choix que d'aller se reposer et voir si quelqu'un de notre entourage peut nous aider. Car il faut l'avouer, rester seul, c'est pas forcément plus encourageant... C'est aussi pour cette raison que j'étais ici présente, pour m'occuper du beau jeune homme. C'est pas seulement dû au fait que j'étais médecin et chirurgienne, mais aussi parce que j'aime cet homme, et que quelque soit l'endroit ou le moment, je serais toujours là pour Dylan. Je tenais à lui comme à la prunelle de mes yeux. Et le fait de le voir ainsi, m'inciter d'avantage à rester auprès de lui et d'en prendre soin. Bien qu'actuellement, le bel apollon avait l'air de se sentir plutôt bien, je préférais tout de même rester, au cas où si la situation empirer. Bien que je ne souhaitais du tout que la situation empire, naturellement...

    On se retrouvés dont, tout les deux, sur le canapé, tranquillement installés, à nous regarder intensément, droit dans les yeux. Et c'est alors que mon cher Dylan m'avoua que je lui avais manqué, que je finis par esquisser un petit rictus, trouvant sa remarque mignonne comme tout. Bien qu'en réalité, il m'avait tout aussi manqué. Affreusement même. Il m'était d'ailleurs de plus en plus difficile de me séparer de ce dernier à chaque fois. Pourtant, on habiter pratiquement à côté et on se voyait régulièrement, mais... Je sais pas. C'était dur à expliquer... Disont que je me sentais éperduement seule et perdue, sans lui. Un peu comme une coquille vide, comme un être qui erre sans but précis...
    Je lui pris délicatement la main, et me mis à la caresser, doucement, en lui retournant mon sentiment, qui était le même que le sien, par ailleurs. Puis, soudainement, je me rapprochais un peu plus du beau brun, et passais ma main sur son front pour vérifier sa température. Et a première vue, c'était pas forcément joli comme constat... Pourtant, il semblait mieux. Vous me direz, tant mieux. C'était l'essentiel ! Néamoins, il pourrait toujours compter sur moi, quoi qu'il arrive. « T'en fais pas, c'est presque rien, et puis c'est toi qui fait monter la température lorsque tu t'approches aussi dangereusement de moi. » Me rétorqua-t'il, moqueur. Ah, je vois ! Môsieur Watson voulait jouer à ça ! Je le toisais alors, avec de grands yeux ronds, faisant alors la moue. Je le poussais délicatement et sans lui faire mal, sur le côté, en laissant échapper un petit rire argentin, me préparant mentalement à lui répondre sur le même ton. Mais, au lieu de ça, comme pour se ratrapper, mon cher et tendre Dylan ajouta « Je t'aime tellement ma princesse, et puis je n'ai pas envie que tu me laisses... Je suis trop bien en ta compagnie. » Je le toisais ainsi, avec amour et tendresse, sentant de doux frissons me parcourir partout, en entendant ces petits mots simples, mais si magique. Celui qui vous persuade du bonheur qui vous attends. Je le laissais m'attirais jusqu'à lui, souriant plutôt bêtement, et lui caresser la joue. Puis, je m'approchais de son doux visage dont j'aimais contempler durant des heures entières, et déposer furtivement un baiser sur ses lèvres, mais me retirait vite, en souriant malicieusement. « Moi aussi, je t'aime mon ange. Plus que quiconque, même. Et promis, je ne te laisse pas. Je tiens trop à toi pour faire ce genre de chose, tout de même, mais... Tu ne t'en sortiras pas aussi facilement, Amour ! » Répondis-je, d'une petite voix amusée, avant de lui faire un petit clin d'oeil. Oh oui, je gardais ma petite vengeance de côté. Il me faudra juste attendre le bon moment, avant de m'amuser à le taquiner à mon tour...
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