« UNE FRACTION DE SECONDE, C'EST DURANT CETTE COURTE PERIODE, QU'IL PEUT SE PASSER UN EVENEMENT QUI RISQUE DE CHANGER VOTRE VIE DU TOUT AU TOUT. IL S'AGIT SIMPLEMENT DE CES QUELQUES SECONDES POUR CHANGER VOTRE DESTINE. »

Assise sur les marches en marbre blanc du grand escalier, une enfant de six ans joue aux Barbies. A côté de la maison parfaite qu’elle leurs à fait, un dossier avec inscrit tout simplement "Papa", dans ce dossier des dessins, tous assemblés là depuis trois ans représentant toute la petite famille qu’ils sont… Petite ? Tel n’est pas le mot qui conviendrait, c’est juste qu’elle ne se rend pas compte de l’ampleur que tout cela à. Elle voit son grand frère passer rapidement en lui tirant la langue. Il va jouer au foot ou quelque chose comme ça... Elle ne sait pas trop, elle est trop jeune pour ça. Mais le fait de l’avoir vu la fait sourire. Un sourire qui s’agrandit quand elle voit enfin arriver ce qu’elle attend depuis ce matin… « PAPA ! » Son petit rire d’enfant emplie le hall. Tout le monde se tourne vers elle, tandis qu’elle essaie de courir vers lui, et ce malgré le volume formé par toute les couches de robes et de jupons qu’elle à sur elle, ses petits cheveux aussi blonds que le blé retombants tout le long de son dos. Son père, et tout ces amis la regardent faire, quand elle arrive enfin vers lui. Il la serre contre lui avant de lui murmurer une phrase qu’elle entend continuellement « Rose, pas maintenant… » Cette phrase qu’elle déteste, qu’elle entend tout le temps, et auquel elle ne voit jamais d’issue. Elle regarde son père, les larmes aux yeux et laisse tomber par terre ses dessins avant de courir en pleurant dans sa chambre. Sa mère la regarde pleurer seule sur son lit. Cette petite enfant qui n’a rien demandé a personne… Alors qu’elle est toujours allongée sur son lit, son frère arrive doucement et s’allonge à côté d’elle, lui caressant les cheveux. C’est un rituel entre eux, quand elle était enfant elle n’arriva pas à s’endormir sans que son frère ne vienne à ses côtés, lui caressant la joue en prononçant le nom des couleurs. Et là, alors qu’elle se sentait mal, que les larmes coulaient à flots sur les joues de la jeune enfant, il faisait la même chose. Il faisait la seule chose qu’il savait capable de la calmer. Il sait combien il est dur pour elle de ne pas partager autant de temps qu’elle le voudrait avec leurs père, mais ce qu’elle ne comprenait pas dans son jeune âge, c’est qu’il avait bien d’autre choses à faire. « Ne t'en fais pas. Un jour, ça s'arrangera, Rose. Je te le promets. » Avoua Gale, en continuant de lui caresser les cheveux. La petite blondinette s'endormit dans ses bras, espérant alors qu'il aurait raison. Qu'elle aurait enfin l'occasion de profiter de son père. Hélas... Les deux enfants ne pouvaient savoir ce qui se tramait juste derrière ses sourires et ses faux semblants...

« ET DANS UN DERNIER SOUFFLE, JE COMPRENDS TOUT : QUE LE TEMPS N'ESXISTE PAS, QUE LA VIE EST NOTRE SEUL BIEN, QU'IL NE FAUT PAS LA M2PRISER, QUE NOUS SOMMES TOUS LIES, ET QUE L'ESSENTIEL NOUS ECHAPPERA TOUJOURS. »

Mon regard était suspendu dans le vide. Ou du moins, sur le visage froid de ma défunte mère. C'était étrange... Moi qui avait toujours eu cette fascination, dans les enquêtes des Experts, du lieutenant Mac Taylor. De voir les scènes de crimes, durant toute la série... Voilà qu'aujourd'hui, j'avais l'occasion de poser mon regard sur un vrai corp. Installer telle une momie, dans son cerceuil en bois. J'en étais malade et chagrinée... Je me souvenais de ce temps qu'on avait partager. Où elle s'était donné corp et âme pour que mon frère et moi, on ne manque de rien. Désormais, plus rien ne serait pareil. Il ne rester juste que Gale et moi. Nous étions les seuls Applewhite, désormais... Sentant mon coeur se déchirer, ne pouvant supporter de rester devant le visage de marbre et endormit de notre mère, je marcher rapidement, sentant les larmes couler, jusqu'à la sortie. Le soleil m'aveugler, m'étouffer à travers la robe noir que je portais. Je n'avais qu'une envie : Partir loin d'ici. Loin de tout ces malheurs. Pourquoi la vie était elle ainsi ? Aussi dur et injuste soit-elle ? Pourquoi tout ceci n'arrivait qu'aux gens biens ? Avait-on dit ou fais quelque chose qui susciter un tel acte ? Je ne croyais pas... Notre famille était tout ce qu'il y avait de plus raisonnable. On étaient gentils, courtois. On aider toujours les autres sans rien demander en retour... Alors pourquoi ? Pourquoi avait-on pris notre mère ? Cela avait était déjà bien difficile, en voyant notre père quitter la maison, et là... Un nouvel évènement tragique s'était abbatit sur nous, tel la peste. Une plaie qui se jette sur nous, et nous consumes de secondes en secondes. Je m'assayais sur un banc, tentant de me calmer et reprendre une respiration régulière, quand mon frère me rejoignit et me prit dans ses bras. Je sentais ses doigts caresser mes cheveux, délicatement. « Ca va aller, Rose. Je suis là, ne t'en fais pas. » Me murmura-t'il, essayant de parraitre fort, mais je sentais aussi qu'il était à deux doigts de fondre en larmes. Je reculais de quelques centimètres, le regardais tant bien que mal, et lui pris la main. « Je ne veux pas... Je ne pourrais pas rester ici, Gale. C'est trop dur... » Lui retournais-je, pendant que ce dernier sortait un mouchoir pour essayer mes larmes de crocodile. Je baissais la tête, reniflant. Il le savait. Il savait tout aussi bien que moi que je n'avançerais pas dans ses conditions. Que je passerais mon temps à broyer du noir. Où je ne sortirais plus, ne m'alimenterais plus. Où je ne fairais plus rien, hormis mourrir à petit feu. « Alors... Partons, dans ce cas. » Dit-il, d'une petite voix douce et rassurante, en me remontant la tête, à l'aide de sa main. Un silence se fit ressentir, durant quelques instants, avant même que je n'approuve. On se leva, main dans la main, et s'en alla lentement, sans même se retourner.

« DANS LA VIE, LES CHOSES QUI ONT LE PLUS DE VALEUR SOT CELLES QUI N'ONT PAS DE PRIX. »

Je dois l'avouais, il m'a bien était difficile de me remettre de la mort de notre mère. D'ailleurs, j'ai toujours du mal... A dire vrai, nous n'avons jamais plus aborder ce sujet, avec Gale. Ni avec qui que se soit. On sait encore que cette douleur est trop pénible et difficile à gérer. Alors, on l'anesthésie, on la mets de côté. On pense à autre chose... On se reconstruit à nouveau. Par ailleurs, notre arrivée à New-York nous a plutôt bien aider. On a un appartement, on s'est fait de nouveaux amis. Mon frère travaille, et moi, je suis sur le point de terminer mes études de médecine. Plus rien ne peut noircir le tableau. Ou... Presque, car... Si Gale apprend que je sors avec son meilleur ami, je ne suis pas sûr que cela lui plaise, forcément... Pour être honnête, il ne supporte pas que je sorte avec qui que se soit. Pour lui, je suis sa petite soeur, et personne ne doit m'approcher, de peur qu'on me fasse du mal. Dans un sens, je trouve ça chou, mais dans un autre... Je me dis qu'il ne pourra pas toujours me protéger... On se dispute, encore, quelques fois à ce propos. Et bien sur, ça ne fais ni plaisir à l'un comme à l'autre, mais... Je suis tout de même devenue assez grande pour gérer mes relations... Vous ne croyez pas ?

Perrine.
18 ans.
Bah, il est sympatoche comme tout, sinon, je ne me serais pas enregistrer ! ^^
Hum... Je sais même plus, à force. Par une pub, je crois. x)
Jennifer Lawrence.
Inventée. (:
Quel est le code ?

Spoiler:

Quelque chose d'autre à dire ? Au risque de parraitre vraiment blonde, et je m'en excuse, mais... J'ai pas trop compris la partie "LET YOU INTRODUCE YOURSELF". Faut faire quoi, exactement, svp ? Sinon, j'espère qu'on s'aimera tous. (a)